Preliminaires Au Chateau Une Infirmière En Beauce 05
PRELIMINAIRES AU CHATEAU Une infirmière en Beauce 05
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Ce vendredi, Valérie prépare son bagage pour se rendre à linvitation du Baron dAvesgaud. Elle se sent fébrile et très angoissée. Ne va-t-elle pas faire honte à son mari en présence de gens de la haute société, de la Province beauceronne certes, mais tout de même, il y aura le Préfet, le député et beaucoup de têtes connues de leur bonne ville de Chartres. Elle, qui ne se sent pas à laise dans ce milieu est curieuse et anxieuse à la fois à lidée de faire la connaissance des épouses de ces édiles et de ce quelles vont penser de son couple. Au moins, ce soir et la journée de demain il ny aura, daprès ce quelle a compris, que le Président et Paul, le colonel à la retraite, ami de son mari quelle apprécie particulièrement depuis quil la emmené à Paris pour acheter une garde-robe convenable. En songeant quil lui a conseillé de porter des bas et des porte-jarretelles, ce quelle a toujours refusé à son mari, elle a tout à coup très chaud et des fourmillements grouillent dans son ventre, surtout que sous la jupe droite de son tailleur, elle sent la ceinture du porte-jarretelles et les bas nylons à couture dont elle na pas lhabitude.
Son mari a été tellement excité de la voir ainsi, quil a pris, alors quelle venait de shabiller, une vingtaine de photos delle en pied dans son tailleur peau de pêche, puis, il la retroussée jusquà la taille, et a même ôté sa jupe. Elle na pas osé lui refuser, mais elle a limpression davoir des dessous de fille de mauvaise vie
Hervé, au volant du Grand Scénic familial, son épouse sur le siège passager, prend la route sur la D939 au départ de Chartres qui va les mener directement à Châteauneuf-en-Thymerais à un peu plus de vingt-cinq kilomètres dans la campagne beauceronne.
Cinq à six kilomètres de ce chemin empierré, bordé de chênes rouvres monumentaux datant de plusieurs siècles, les amène à une double grille ouvragée dont les deux portes sont ouvertes. Hervé sengage sur un chemin de gravier rose qui leur fait découvrir le magnifique château de Castelneuf, de pur style Renaissance, dont la façade est faite dun appareillage de pierres et de briques. Construit dans une vaste clairière, ce bâtiment devait être dévolu en premier lieu à la chasse. Constitué dun corps principal sur deux étages au très haut toit dardoises, il est flanqué de deux grosses tours carrés de même hauteur auxquelles sajoutent deux petits pavillons rectangulaires comportant un seul étage. Malgré sa dimension modeste, comparée aux châteaux de la Loire, il doit tout de même comporter vingt-cinq à trente pièces. Hervé et Valérie sont impressionnés par ce décor de rêve. Et ils nont pas encore vu lintérieur !
Un majordome les accueille sur le perron principal et les conduit à leur appartement dans la tour gauche du premier étage. Cest une véritable suite dhôtel étoilé : un salon avec sofas et fauteuils confortables, un grand écran plat de télévision, un bar réfrigéré et un meuble contenant une cafetière, un nécessaire pour le thé et de nombreux verres. La chambre est sublime avec un lit à baldaquin et une salle de bains où le confort sassocie à la décoration du meilleur goût. Le majordome prénommé Etienne les informe que le dîner sera servi à 20 heures 15 au rez-de-chaussée, mais que Monsieur le Baron les attend à 19 heures 30 au salon attenant à la salle à manger
Le salon dans lequel pénètre le couple est immense, il occupe la totalité du bâtiment, une trentaine de mètres sur huit, soit environ 240 m2.
Mais la soirée sarrête là. Le Président dit être fatigué et il se retire dans ses appartements. Ils se séparent et le couple Legendre regagne la suite mise à leur disposition. Lorsque Valérie se déshabille, alors quelle na pas encore retiré les bas et le porte-jarretelles, Hervé remarque que les pointes des seins sont érigées, presque turgescentes. Il sapproche et lenlace, glissant sa main entre les cuisses et constate immédiatement que la chatte est plus que moite, carrément humide. Il glisse dans loreille de sa conjointe.
« Cest le Baron qui te fait mouiller ainsi ma chérie ? »
Valérie devient couleur pivoine, nosant pas bouger ni relever la tête.
« Que vas-tu imaginer mon Amour ? La bonne chère, le bon vin, lambiance, javoue que cela me trouble, mais cest à toi que je pense mon chéri.
En effet, Hervé bande outrageusement dans sa culotte de pyjama et Valérie, ne perdant pas de temps, sort le vit de son mari et labsorbe aussitôt entre ses lèvres, lui faisant une fellation dont elle a le secret. Car de ce côté, elle a toujours été performante songe Hervé qui sallonge sur lépais tapis de la chambre, obligeant sa femme à se disposer sur lui en 69. Valérie proteste pour la forme, mais voulant effacer toute trace de suspicion de son époux, et se sentant tout de même un peu en faute davoir eu des pensées coupables pour le très bel homme quest Cédric, ouvre le compas de son entrecuisses et offre sa vulve aux doigts et à la bouche de son mari. Celui-ci est sur un petit nuage, il a une vue en panoramique sur la totalité de lintimité de son épouse qui német, pour une fois, aucune protestation à se montrer à lui dans une position quelle déteste habituellement.
Hervé se régale. Après des mois de bataille pour que Valérie accepte de se faire épiler intégralement, elle a consenti pour lui faire plaisir à aller dans un institut. Son homme est redevenu comme au début de leur mariage, même mieux quà cette époque, sil est de nouveau plein de petites attentions, lui offrant des fleurs ou des petits cadeaux sans raison, il se montre aussi très amoureux, sans pour autant vouloir sans cesse lui faire lamour. Il la laisse juge du moment où elle aura envie et elle apprécie au plus haut point cette réserve complètement inhabituelle jusquici chez son mari. Elle navait vraiment plus très envie depuis que Serge, son premier amoureux était sorti de sa vie. Pourtant, comme elle la aimé celui-là ! Comme elle a pris du plaisir à se donner à lui et à tolérer dix fois plus de choses quelle na accordé à Hervé en vingt-cinq ans de mariage ! À présent, elle se sent des envies quelle na jamais eues auparavant. Elle se sent mouillée pour un rien et ses seins gonflent et deviennent durs lorsque des pensées inavouables la traversent.
Pendant ce temps, Hervé contemple avec ravissement la vulve dénudée et glabre de sa moitié. Un léger filet de mouille filtre et vient sécouler jusquà lillet du trou du cul de son épouse. Les grandes lèvres sont encore fermées, mais il se promet de les ouvrir en grand, lillet du conduit rectal palpite et il ne peut sempêcher dy poser sa langue et dhumecter la rosace plissée. Surprise, Valérie a interrompu sa savante fellation. Comme Hervé donne de larges coups de langue de la raie culière jusquen haut du pubis, elle est rassurée sur les intentions de son mari, et elle reprend la verge en bouche. Hervé a bien compris quil ne faut pas trop insister sur cet endroit, pour linstant complètement tabou. Pourtant, il a bien lintention dans un avenir quil espère proche, de bouffer le cul de son épouse, de lui entrer ses doigts pour élargir les sphincters du trou de balle et de la sodomiser avec sa pine au plus profond de ses entrailles. À ce moment, ses pensées lubriques, contrairement à son habitude sont dune vulgarité étonnante pour ne pas dire triviales frisant même lobscénité.
Il écarte délicatement les grandes lèvres gonflées de sang et palpe à pleins doigts la chair onctueuse du vagin, admirant la profondeur orangée et de plus en plus sombre du mystère féminin. Il chatouille dun doigt le méat doù perle une goutte de liquide indéfini, sentant la vibration de lexcitation produite par sa caresse certainement perçue comme inconvenante par sa prude épouse. Puis, il retrousse de deux doigts le capuchon clitoridien, frôlant le bouton du bonheur, cette fluette protubérance ressemblant à une petite bite que la langue dHervé vient titiller, faisant sursauter les cuisses et le ventre de Valérie qui pousse un gémissement rauque. La mouille envahit les chairs vaginales, tandis que la bouche dHervé sempare de lextrême ogive qui a durci en laspirant jusquau fond du palais, et provoque chez son épouse un soubresaut soudain. Son clito, pris entre les lèvres de son mari et tété à mort, elle sarc-boute sous la stimulation voluptueuse, tordant son corps en tout sens, voulant échapper à lincroyable et douloureux plaisir charnel quelle ressent. Lorsque lorgasme dépasse la jouissance divine ressentie, elle pousse un mugissement et retombe sur le torse de son époux, anéantie par la volupté de cette caresse buccale ultime.
Hervé se dégage dentre les cuisses de son épouse, il vient la prendre dans ses bras, la berçant tout en lui caressant le visage. Celle-ci, confuse et tout de même un peu honteuse de sêtre laissé aller, nose pas le regarder. Pourtant, elle lui dit tout bas.
« Merci mon Amour, tu mas fait jouir comme jamais. Mais, toi, je tai abandonné, pardonne-moi, avec ce que tu mas fait subir, je ne pouvais plus me concentrer sur ton plaisir ».
Ce faisant, Valérie reprend le vit de son mari en bouche et le pompe avec une grande application, faisant des circonvolutions de sa langue autour du vit quelle maintient fermement. À genoux devant son mari qui sest mit debout, habillée seulement de ses bas et de son porte-jarretelles, Valérie est dun érotisme inouï ! Lorsquelle sent la sève courir dans lurètre, elle la bloque en serrant très fort la verge turgescente, puis, relevant la tête, elle ose regarder son mari dans les yeux, relâchant la pression sur le membre tout en le branlant sans sinterrompre. Hervé a les yeux exorbités de voir ainsi son épouse, se conduire de façon aussi perverse. Il ne peut plus se retenir et éjecte son foutre dans la jolie bouche de la mère de ses s. Valérie ne se retire pas comme à son habitude, elle regarde toujours fixement son mari, puis, lorsquil sest bien vidé, elle retire la queue dentre ses lèvres et ouvre la bouche en grand pour que son époux puisse voir le jus blanchâtre accumulé au fond de son palais. Sans quitter le regard dHervé, elle déglutit lentement, et avale sans sourciller le sperme marital.
Hervé se penche et redresse son épouse, lembrassant dans un long baiser reconnaissant. Il songe que cette soirée dans ce château magnifique, le dîner fastueux, les bons vins, la prestance de son patron et les attentions quil a eues pour Valérie, tout cela a déclenché chez elle une libido surprenante. Il espère que cela ne va pas sarrêter là
À suivre
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